Perdre un proche, c'est déjà un choc et une souffrance. Découvrir ses dernières volontés entraîne, parfois, une douloureuse consternation. Conflits autour de biens convoités, vieilles querelles ravivées par un testament inéquitable, luttes de pouvoir entre les enfants d'un premier et d'un second mariage... tout cela et bien plus, risque de précipiter la désunion des familles. Que faire et quoi éviter pour que le partage du patrimoine familial ne tourne au vinaigre, éclate en conflit d'intérêts et laisse la fratrie déchirée et totalement désemparée ?
Le testament demeure encore aujourd’hui l’élément majeur d’une planification réussie ayant pour objectif la protection de notre patrimoine, bâti au fil du temps, et sa transmission aux personnes de notre choix. En l’absence de testament, c’est la loi qui désigne les héritiers, qui établit les proportions de partage des biens. Ce sont alors les héritiers légaux qui nomment un liquidateur et décident des pouvoirs que ce dernier pourra exercer. L’absence de testament entraîne également l’application de certaines dispositions légales qui restreignent ou retardent le partage de nos biens.
La rédaction et la signature d’un testament comportent l’avantage d’établir nos instructions précises concernant la disposition et le partage de notre patrimoine qui, fréquemment, atteint une valeur économique importante. Le testament identifie clairement nos héritiers, établit les modes de dévolution de nos biens, tels qu’un legs particulier d’un objet précis à valeur sentimentale, un legs universel de l’ensemble de nos biens, la mise en place d’une fiducie testamentaire pour protéger nos héritiers vulnérables (enfant mineur, héritier lourdement handicapé, parents souffrant de dépendances). Il permet de rétablir un certain équilibre entre nos proches qui ont pu avoir été avantagés ou désavantagés de notre vivant.
Le règlement d’une succession apporte trop souvent son lot de frustrations, de chicanes et de rancoeurs au sein d’une famille, même parmi les plus unies. Pourquoi ? Parce que le décès lui-même et le règlement de la succession soulèvent des difficultés que le défunt ne pouvait soupçonner.
Notre équipe de notaires spécialisés pourra vous conseiller et rédiger un testament qui convient à votre situation. N’hésitez pas à communiquer nous afin de prendre un rendez-vous.
LRV Notaires
Droit de la personne
Vous avez été désigné liquidateur d’une succession et vous êtes
maintenant responsable de régler la succession de la personne qui est
décédée.
LRV Notaires
Droit de la personne
Le mariage n’est plus aussi en vogue qu’à une certaine époque. Pour bien des couples modernes, l’union libre est devenue une véritable vertu. Certains se marieront plus tard, par exemple après avoir eu des enfants, ou même lorsque les enfants seront assez grands pour assister au mariage. Il semble que l’amour hors-mariage apporte un sentiment de sécurité qui fait oublier les conséquences de scénarios tels que la rupture ou le décès.
Me Jade Gervais-Di Zazzo
Droit de la personne
La
survenance de l’inaptitude est assurément une période charnière et éprouvante
pour de nombreux citoyens et, plus particulièrement, pour les gens d’affaires
qui souhaitent non seulement assurer l’avenir de leur entreprise, mais
également éviter tous les ennuis possibles pour leurs proches.
Me Béatrice Lavoie
Droit de la personne
Afin
d’être bien protégé en cas de survenance de votre inaptitude, il est toujours
recommandé de posséder un mandat de protection qui peut être rédigé soit devant
un notaire ou soit devant deux témoins. Par contre, soyez rassuré si votre
inaptitude survient alors que vous n’avez pas encore un tel document.